BRAMA

Le groupe qui nous a fait l’honneur de cette chronique est forcément local, sur le marché du circuit court, et en plus, il chante en occitan, c’est BRAMA

On l’a vu entre autre à Treignac cet été jouer devant le café du commerce pendant le festival Kind Of Belou, et il a sorti un nouvel album le 13 septembre

Il joue demain 18 septembre à la coopérative de Mai à Clermont et on les verra le vendredi 4 octobre aux Lendemains Qui Chantent.

Ils étaient trois, cet été moins un plus deux ils sont quatre aujourd’hui, on y trouve

Paolo Gauthier à la batterie, Simon Guy à la guitare, Amandine Pauvert à la vielle à roue et Antony Miranda à la basse. On peut aussi dire que Amandine remplace Baptiste Lerbheil depuis ce mois et que le groupe a pris un bassiste pour rééquilibrer le spectre sonore de leur production sonore.

Je vais vous faire une analyse musicologique pas trop poussé, d’abord parce que je suis pressé et ensuite on trouve tout sur leur site même si il est pas à jour. Juste il faut dire que c’est du trad revisité façon psycho-punk qui vous nettoie les oreilles puis la tête. Pas besoin d’épices exotiques pour halluciner en les écoutant, c’est un tour dans le mur du son en technicolor grand écran. En plus y a du relief, celui du Massif Central dont ils ont pris l’énergie volcanique.

BRAMA c’est le groupe, l’album c’est… ah je ne le vois pas sur la pochette et c’est distribué par Soyouz Folklore Moderne

en voici un échantillon, sous le titre : ROMECS