HININ puise son nom dans le Japon ancestral, et ses influences dans les années 80. Pourtant, aucune parcelle n’est ici jalonnée de poussières. Guitare stridente, et batterie rageuse, portées par un chant glacial, aiguisent un Post-punk « à chiens » triste et dansant. Hymne à la nuit d’une vie sans lendemain. Pierre et Antonin nous raconte la genèse du projet.