Une fine association de ukulélé, de guitares qui feulent, de beatbox qui gratouille les vertèbres et d’harmonies travaillées ils sont Baboucan & the Fine Asses.
Ils se décrivent comme Le mi-cuit au chocolat qu’auraient cuisiné Moriarty, Yaël Naïm, Hiatus Kayiote et Cocorosie, à déguster à l’arrière d’un van en voyage, au premier rayons de soleil du printemps ou en se roulant sur les vagues dodues de l’océan et tout est vrai.
De la néo-soul acoustique, légèrement pailletée au micro de Bram FM à l’occasion de leur passage sur la scène Des Lendemains Qui Chantent.